Avec la disparition brutale de Jean-Christophe Hervé, nous perdons un mathématicien brillant à qui l’on doit une profonde modernisation de l’inventaire forestier français.
Ces derniers mois, l’appétit pour la forêt ne se dément pas. Tout se vend, tout s’achète et l’offre semble bien inférieure à la demande. Il n’est plus rare de voir la mise aux enchères de parcelles forestières, les vendeurs pensant tirer ainsi le maximum de leur propriété. Il est non moins rare de voir les prix de vente dépasser le montant estimé par les experts. En croisant de nombreux témoignages récents, nous en avons tiré un dialogue imaginaire (toute ressemblance étant fortuite, etc., etc.) qui pourrait se révéler utile à certains.
Les élections municipales sont inscrites au calendrier politique de mars 2020. Plusieurs acteurs de la forêt et du bois s’investissent pour devenir les édiles de ces collectivités de proximité. La forêt, le bois et les arbres sont-ils pour autant mis en avant dans leurs communes ? Et ailleurs ?
Le chêne offert par le président Emmanuel Macron au président Donald Trump est mort. Pouvait-il en être autrement ? À la confluence du 4 juillet et du 14 juillet 2019, fêtes nationales respectivement états-unienne et française, la Grive s’est intéressée à cet arbre qui, à l’aube de sa jeunesse, fit une apparition éphémère à la Maison Blanche ; et également au chêne dans une consultation de la Commission européenne, qui faillit passer inaperçue.
À peine le chef de l’État eût-il annoncé officiellement la reconstruction de Notre-Dame de Paris, qu’un chapelet de bienfaiteurs s’était déjà fait connaître. Dans ces « JO de la solidarité », les acteurs de la filière bois ne sont pas loin du podium. Après le green washing*, assiste-t-on à un « grume washing » ?
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