Le rapport Cattelot, puis la note Pompili, induisent une évolution radicale de la politique forestière française. Si la concertation entre les forestiers et la société civile semble inéluctable, le preneur de risque reste le propriétaire forestier.
Comment maximiser la contribution des forêts à l’atténuation du changement climatique ? L’objectif carbone est légitime, mais n’oublions pas tous les autres biens et bienfaits de la forêt, et, surtout pas, l’humain.
Le plan de relance prévoit 150 millions d’euros pour soutenir le reboisement en 2 ans en France. Avec quelles essences d’arbres et avec quels plants forestiers, les forêts vont-elles être renouvelées ? Des chercheurs mettent en garde contre une action précipitée.
Qui connaît l’« obligation réelle environnementale », l’« ORE » ? Discrètement créée par la loi de reconquête de la biodiversité du 16 août 2016, l’ORE commence tout doucement à se matérialiser sur des propriétés agricoles ou des espaces naturels, mais pas encore en forêt. L’association Forêt méditerranéenne a voulu y regarder de plus près : en région méditerranéenne, l’ORE peut-elle être un levier pour amener les propriétaires forestiers à la gestion et à la sylviculture ?
Alors qu’un plan de relance est en discussion et que les forêts françaises font face à la crise des scolytes, le Syndicat des exploitants de la filière bois (SEFB) entend contribuer aux débats et propose une refondation du métier d’exploitant forestier.
Faut-il voir un lien entre forêt et Covid-19 ? La forêt doit-elle relever du domaine public ? Devenir un « bien commun » ? Sur quelle échelle de temps devons-nous et pouvons-nous planifier le devenir des massifs forestiers ? À qui revient-il d’imaginer le futur des forêts ? Réflexions personnelles d’Anne Bablon.
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