Comment affirmer le bois dans l’économie circulaire ? Et si l’Europe tenait mieux compte du caractère renouvelable des matériaux dans la « hiérarchie des exigences essentielles » qui se retrouve notamment dans sa politique de prévention et de gestion des déchets ?
L’économie forestière semble peu évoluer depuis 25 ans. Les plans et les rapports se succèdent. Les changements climatiques dessinent un présent et un futur incertains. Une situation dont on ne peut se satisfaire.
Donner la faveur aux plantations sur la régénération naturelle des forêts, privilégier la transformation des grumes en France ou encore l’« articulation des usages » du bois, créer une médiation entre l’ONF et les exploitants forestiers… autant de revendications de la FNB qui appellent des remarques.
C’est tout de même extraordinaire, on parle d’environnement depuis des années sur le plan international (Rio, Kyoto, Paris) avec des avancées formidables mais souvent peu ambitieuses pour la forêt. À l’occasion du sommet sur l’accord de Paris « One planet summit », Antoine d’Amécourt, président de Fransylva, rappelle les ambitions données à la forêt et surtout les moyens qu’il faut lui allouer pour relever ce défi.
Pour inventer le monde de demain, l’engagement des chercheurs et la générosité des forestiers et des professionnels des parcs et jardins doivent être à la hauteur de l’intelligence des arbres !
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