Dans quelle mesure la sylviculture peut-elle intégrer le futur débouché de la chimie du bois afin de favoriser la présence d’extractibles dans nos forêts ? Telle est la question que se sont posée les chercheurs du programme ExtraForEst. Il ne s’agit pas de balayer les autres usages du bois ou de déstabiliser les filières existantes, mais d’étudier comment adapter la sylviculture actuelle à de nouveaux débouchés.
La décennie la plus chaude depuis plus d’un siècle a fragilisé la forêt française. Dans son numéro de janvier-février 2020, Forêts de France fait le point sur les récentes crises sanitaires et présente le défi que constitue l’adaptation de nos forêts au changement climatique.
La reconstruction à l’identique de la charpente de Notre-Dame serait une occasion d’aborder la forêt comme un patrimoine culturel, plutôt que naturel ou économique. C’est cette patrimonialisation culturelle qui pourra créer de la passion pour la forêt et le bois.
Les dernières avancées scientifiques d’ExtraForEst et les récents échanges au sein de ce programme confirment la volonté des acteurs de la filière forêt-bois, élus locaux ou encore chimistes industriels de faire progresser la chimie du bois.
L’arbre à pain a besoin de l’homme pour fournir des fruits et du bois de qualité. Dans son numéro de décembre 2019, Forêts de France fait le point sur les atouts et faiblesses du châtaignier, troisième essence feuillue des forêts françaises.
La Revue forestière française consacre un numéro spécial aux ateliers Regefor 2017, centrés sur le thème des bioagresseurs émergents en forêt, qu’il s’agisse des agents pathogènes (champignons, bactéries, virus) ou des ravageurs (invertébrés, rongeurs...).
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