Il se pourrait bien que les Assises de la forêt et du bois soient l’un de ces moments qui forcent le destin. Que faire de cette floraison massive de contributions aux portes de l’hiver, de cette glandée du siècle de propositions ?
J’ai l’impression de me retrouver à écouter la météo marine de mon enfance : avis de gros temps généralisé, sur la forêt, les forestiers et la filière forêt-bois.
La cousinade : qui ne connaît pas ces grands rassemblements, en général d’été, où tous les descendants d’un couple d’anciens, et les « pièces rapportées », se rassemblent au pays d’origine ? La fête des voisins, c’est un peu pareil, sauf que les liens familiaux ne sont pas le critère de rassemblement, il importe seulement de vivre au même endroit. Quel rapport avec la forêt ? Patience…
Un éditeur, pas le moindre, me met sur la table un contrat pour un livre. J’ai accepté, à moi de l’écrire, lui se débrouille du reste. Le titre ? Il faut sauver nos forêts de France. Jusque-là, d’accord, sauf que je me sens pas sauveur du tout. N’empêche, sauver les forêts...
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